Opnamen voor Caltech
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Tijdens een vlucht naar New York maakt steward Walter een foto van een vreemde verschijning in het luchtruim. Buiten Natasja heeft niemand het opgemerkt. Ze besluiten om naar Californië door te vliegen en het advies in te winnen van professor Warring te Caltech. Onderweg worden ze gehinderd door leden die pretenderen van het FBI te zijn. Tot hun groot ongeloof landt een vliegende schotel.

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Jidéhem

Né le 21 décembre 1935, Jean De Mesmaeker, dit Jidéhem, suit les cours d'art décoratif à l'institut Saint-Luc de Bruxelles et présente ses premiers travaux à Fernand Cheneval, éditeur et animateur de l'hebdomadaire HEROïC-ALBUMS, qui l'encourage et publie en feuilleton à partir de 1953 ses deux premières histoires, "Ginger et le collectionneur" et "Le Baron est fou". Jidéhem va ensuite réaliser pour ce journal une demi-douzaine d'enquêtes de son détective "Ginger", ponctuées de mitraillades, de poursuites automobiles et de crashes spectaculaires. 1 la disparition d'HEROïC-ALBUMS, fin 1956, il se présente chez Dupuis. Son type de série semi-réaliste et violente effarouche l'éditeur fort soucieux de la censure française : Ginger ne vivra de nouvelles aventures dans SPIROU qu'en 1979, lorsque le seuil de tolérance dans les publications pour la jeunesse se sera nettement relevé. Franquin se trouve toutefois débordé par les nombreuses responsabilités qu'il a acceptées ( la série "Spirou et Fantasio", les animations de couvertures du journal et l'illustration de la rubrique automobile "Starter"; les gags hebdomadaires de "Modeste et Pompon" dans TINTIN et la création envisagée de "Gaston") et Jidéhem lui est présenté. Il entre dans l'atelier du Maître et participe aux décors de Spirou à partir du "Prisonnier du Bouddha", reprend et développe l'animation graphique des articles de Starter, collabore largement aux premières années de "Gaston Lagaffe" (Son véritable patronyme sera d'ailleurs accordé à l'"homme aux contrats" de la série.). Il rêve pourtant toujours d'une série personnelle et l'abordera par un biais, car l'éditeur se montre réticent à laisser se disperser le parfait collaborateur de son auteur vedette. "Franquin me conseilla d'en parler à Delporte," se souvient Jidéhem. "Et Delporte me déclara : "Il n'y a qu'une seule solution. Je vais t'écrire un synopsis. Comme je suis le rédacteur en chef, je serai bien forcé de l'accepter..." Et il le fit avec "Starter contre les Casseurs"." Ce banc d'essai animant le personnage d'une rubrique du journal incite l'éditeur à lui donner carte blanche, pour autant qu'il évite le genre policier où Tillieux se trouvait déjà la cible des censeurs parisiens. Comme sa femme attendait une petite fille, l'artiste décide de lancer une jeune héroïne, "Sophie", qui apparaîtra avec Starter dans l'épisode suivant ("L'oeuf de Karamazout", 1964), puis prendra son autonomie et vivra une vingtaine d'aventures jusqu'en 1995, souvent sur scénario de Vicq. Lorsque sa fille aura dépassé l'âge de son héroïne, Jidéhem réduira nettement sa production, adaptant de 1990 à 1993 quelques "Chansons cochonnes" pour les éditions Top Game de son ami Carpentier. Son essai de relancer "Ginger" tourna court, mais il conserve une grande nostalgie de son premier personnage et regrette de n'avoir pu lui consacrer une carrière complète.

Borgers

Né à Bruxelles le premier octobre 1941, Etienne Borgers fait la connaissance de François Walthéry en décembre 1965 au "4e Cycliste" à Spich, où ils effectuent tous deux leurs service militaire. Ingénieur industriel de formation, il se passionne pour le roman policier et la science-fiction, écrivant pour son plaisir personnel diverses nouvelles dans ces deux domaines. Lorsque Gos se trouve monopolisé par sa propre série, le Scrameustache, Walthéry se lance dans une recherche tous azimuts de scénaristes pour imaginer les aventures de la belle Natacha. Ayant apprécié certains récits de son copain de chambrée, c'est tout naturellement vers lui qu'il se tourne pour alimenter sa série. Borgers débute en fournissant la trame d'une "Carte Blanche" parodiant Benoît Brisefer. En 1973, une de ses nouvelles policières servira de base à "La Mémoire de métal", troisième titre de la série Natacha, puis il élabore une grande saga de science-fiction en deux volumes ("Instantanés pour Caltech", suivi par "Les Machines Incertaines"). Parmi une douzaine d'autres scénarios d'auteurs divers, Walthéry dispose encore dans ses tiroirs depuis une éternité d'une troisième grande aventure de l'hôtesse de l'air ("African Express"), un suspense se déroulant en Afrique de l'Ouest. Ingénieur industriel spécialisé dans l'exportation, Etienne Borgers quitte la Belgique en 1989 pour s'établir durant neuf ans en Asie, puis en Nouvelle-Zélande. Depuis les antipodes, il conserve toutefois, par hobby, des attaches avec le monde de l'écrit en fournissant des articles à diverses revues (BD, polar, Hi-Fi). Il fut le premier à présenter en anglais la BD belge, ainsi que des écrivains européens dans des sites qu'il crée sur internet dès 1995. Il lance en 1996 le site anglophone "Hard-Boiled Mysteries", consacré entièrement aux romans et films policiers à tendance "noire", initiative recevant assez rapidement un certain retentissement aux U.S.A.. En 1998, il publie une étude sur la fameuse "Série Noire" de Gallimard dans "The Big Book of Noir", une anthologie consacrée au roman noir. En 2000, il démarre un nouveau site, en français cette fois — "Polar Noir"—, où il propose ses critiques de romans, ainsi que des articles et des interviews d'auteurs francophones. Etienne Borgers est revenu en Belgique au printemps 2001.

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